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Description
Le peintre montréalais Michael Smith est connu pour ses surfaces fluides et empâtées ainsi que pour sa capacité à trouver un équilibre poétique entre représentation et abstraction. Inspiré par l'histoire de l'art ainsi que par les événements historiques et actuels, Smith puise dans diverses sources pour créer ses paysages et ses marines énergiques. La fontaine de l'indolence de JMW Turner, les représentations des expéditions arctiques du XIXe siècle de George Chambers et les abstractions au couteau à palette de Jean Paul Riopelle façonnent continuellement la compréhension de Smith de la peinture de paysage, tandis que les projets axés sur l'histoire repoussent les limites de son sujet. Cette grande rétrospective des peintures de Michael Smith démontre sa capacité à mélanger le paysage et l’abstraction, créant des espaces fictifs qui montrent comment l’expérience influence la façon dont nous percevons le monde. Superposant paysages terrestres et marins, le familier et l’inconnu, les peintures de Smith transmettent (comme l’écrit Smith) « un mélange d’excitation et d’anxiété d’un pays, [qui] bien que parfois bucolique, est criblé d’ombres ». Le peintre montréalais Michael Smith est réputé pour sa touche fluide et ses empâtements, ainsi que pour sa capacité à atteindre un équilibre riche en poésie entre la représentation et l'abstraction. Puisant son inspiration tant dans l'histoire de l'art que dans les événements du passé ou d'aujourd'hui, il utilise une multitude de sources pour créer ses marines et ses paysages agités. The Fountain of Indolence de JMW Turner, les représentations d'expéditions de George Chambers dans l'Arctique au XIXe siècle ou encore les abstractions à la spatule de Jean Paul Riopelle sont autant d'œuvres qui façonnent continuellement sa compréhension de la peinture de paysage, alors que les projets ancrés dans l'histoire repoussent les limites des thèmes qu'il aborde. Cette grande rétrospective témoigne de la capacité de Michael Smith à marier paysage et abstraction pour créer des espaces fictifs qui démontrent l'incidence d'une expérience sur notre façon d'appréhender le monde. En superposant la marine et le paysage, le familier et l'inconnu, Smith exprime (comme il l'explique lui-même) « la fébrilité mêlée d'anxiété que l'on éprouve devant un paysage qui, bien que parfois bucolique, est criblé d'ombres ».